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    Page 38 sur 457 résultats pour la recherche "Jean-Pierre Melville" :
  • ...Casbah est un foyer de misère. Le personnage de Pépé est bien trop simple pour être le centre du film. Il est le jouet du destin. Pépé n’est pas le seul exilé sur cette terre maudite, Tania l’est également. Personnage fugace et pathétique, elle pleure son passé.     Slimane guide...

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  • ...c’est un remake d’un film du grand Tod Browning de 1931 dans lequel le rôle principal était tenu par Lew Ayres, tandis que Jean Harlow interprétait Rose. Le film de Tod Browning était beaucoup plus noir que celui de Pevney, peut-être cela vient-il de ce qu’il a été tourné pendant la...

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  • ...fut certainement pas un bide, comme on a pu le dire, mais il fut très décevant pour un film avec Jean Gabin. On peut parler d’un demi-échec. La critique ne fut pas tendre avec Duvivier. Et pourtant comme de nombreux Duvivier, Panique, L’affaire Maurizius, voire même La belle équipe, il est...

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  • ...thème sera repris plus tard avec un énorme succès par Roberto Begnini en 1997 sous le titre de La vita e bella. Le peu qu’on en connait laisse pourtant entrevoir quelque chose d’excellent. Dans ce film il engagea aussi le grand et génial Pierre Etaix [4] qu’il considérait comme un des...

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  • ...conduite de Bob. Il y a beaucoup de moments forts, d’abord le passage à tabac par les flics pour le faire avouer. On retrouve cette idée dans de nombreux romans de cette époque, notamment dans Le deuxième souffle de José Giovanni, scène qu’on retrouvera chez Melville dans son adaptation,...

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  •   Pour sa première adaptation de Jean Amila qui signe encore John Amila à la Série noire, Bromberger va choisir un thème assez bien balisé. C’est le thème du vieux caïd vieillissant qui règle ses comptes avec le milieu, typique du film noir à la française depuis au moins Touchez pas au...

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  • ...était une vedette importante. Pour ma part, j’ai beaucoup de mal avec sa voix blanche et l’inexpressivité de son visage. Cette passivité fait que parfois on ne comprend pas très bien ses réactions. Elle est un peu à contretemps. Mais une fois qu’on est passé par-dessus cette première...

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  • Jean-Paul Viberty échappe de peu à la police qui est venue l’attendre à la gare. Il se retrouve par hasard dans un train qui s’en va à Prague. Un entraineur de course d’aviron le prend pour le masseur de l’équipe et l’embarque avec lui. Arrivé à Prague, Jean-Paul qui se fait...

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  • ...Fleischer avait choisi une certaine forme de classicisme. Hitchcock n’en est plus à indiquer les tendances nouvelles dans la mise en scène, mais plutôt il essaie péniblement de les suivre. Il y a bien des critiques qui ont essayé de sauver ce film de l’opprobre générale, par exemple...

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  • ...éclairé par les néons intermittents de l’hôtel Peekskill – point de vue en anglais – qui donne sur un quartier sordide. Mais depuis le « point de vue » de Press, on ne voit que KILL qui s’allume de temps en temps comme une injonction de tuer. Il est possible que cette réclusion de...

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