• Le trésor de la Sierra Madre, The Treasure of the Sierra Madre, John Huston, 1948

     Le trésor de la Sierra Madre, The Treasure of the Sierra Madre, John Huston, 1948  

    C’est un film qui a atteint le rang de film classique, et sans doute un des meilleurs et des mieux connus de John Huston. Ce dernier a toujours eu une passion pour B. Traven et pour le Mexique d’ailleurs. J’ai déjà beaucoup parler de B. Traven[1]. Rappelons ici qu’en tant que révolutionnaire allemand il participa à la révolution spartakiste, puis qu’il s’exila en Amérique avant de s’installer au Mexique qui l’adopta en en fit le symbole de la littérature mexicaine ! Toujours très près des pauvres et des humbles, sa prose était plutôt désespérée, il montrait dans ses réçits comment la lutte des classes au Mexique passait par une opposition entre les Mexicains d’origine indienne et  ceux qui descendaient des Espagnols, c’est-à-dire des colonisateurs. Il avait au moins en commun deux choses avec John Huston, l’amour du Mexique et des Mexicains et puis cette attirance pour la défaite sans avenir. John Huston habita un temps au Mexique, il y tourna aussi The Night of the Iguana, avec Richard Burton, Ava Gardner et Sue Lyon. Mais, ce que l’on sait moins, c’est qu’il fut aussi acteur dans une adaptation d’un autre roman de Traven, The Bridge in the Jungle, en 1970, réalisé par Pancho Kohner. Il faut tout lire de B. Traven et Le trésor de la Sierra madre n’est ni meilleur, ni moins bon  que tout le reste. Abondamment adapté à l’écran, il donna des sujets très fort au cinéma mexicain des années cinquante-soixante, notamment pour Roberto Gavaldon, Macario ou Dias de otoño. A mon sens John Huston était certainement le mieux placé pour adapter Le trésor de la Sierra Madre, et certainement pour en faire un succès mondial, puis un classique du cinéma américain. Il avait lu l’ouvrage de Traven en 1935, c’était donc un projet qui lui tenait à cœur. Huston qui aimait le mystère entourant B. Traven avait entretenu une correspondance soutenue avec lui.  Il relate la complexité dans son ouvrage de mémoire, Warner et lui-même avaient été tentés de l’associer à lécriture du scénario[2]. En vérité Huston rencontra bien Traven, mais sans le savoir, puisque celui-ci lui apparut sous un  nom d’emprunt, ce qu’il avait coutume de faire pour des raisons assez compliquées à comprendre. Plusieurs moutures avaient été élaborées, avec des acteurs différents, on parla notamment de John Garfield pour le rôle de Dobbs. Une des originalité de ce film produit par Warner est qu’il était très cher, non seulement parce que le tournage dura presqu’une demi-année, mais aussi parce que John Huston voulait tourner la plus grande partie en extérieur, ne pas se contenter des villes frontières, et faire de Tampico un décor. 

    Le trésor de la Sierra Madre, The Treasure of the Sierra Madre, John Huston, 1948  

    A Tampico Dobbs traîne sa misère au point de taper ses compatriotes qui paraissent plus riche que lui. Harcelé par un gamin il achète un billet de loterie. Avec un autre compagnon d’infortune, Curtin, ils s’embauchent pour travailler comme charpentiers sous la direction de McCormick. Mais celui-ci ne les paye pas. Complètement fauchés, ils atterrissent dans un asile de nuit où ils font la connaissance d’un vieux chercheur d’or, Howard. Celui-ci leur parle d’un filon dans la Sierra Madre que personne ne connait. Dobbs et Curtin retrouvent McCormick, une bagarre s’engage et ils récupèrent leur argent après une bagarre mémorable. Dobbs en outre a gagné à la loterie une petite somme. Avec cet argent qui les aidera à s’équiper, ils décident de partir avec Howard. Le voyage se passe à peu près bien, à part une attaque de leur train par les bandits qui écument la région, et le filon finit par donner. Ils se demandent quand ils vont partager. Chacun va garder son or et le cache aux yeux des autres. En allant au village pour faire des provisions, Curtin va rencontrer un Américain, Cody qui lui aussi cherche de l’or. Curtin tente de s’en débarrasser, mais celui-ci l’a suivi. Il propose aux trois hommes de s’associer avec eux. Ils ne veulent pas et se proposent de l’abattre. Mais ils n’en ont pas le temps. Des bandits emmenés par chapeau d’or vont les attaquer. Ils se défendent comme ils peuvent, mais les bandits finissent par partir parce que les federales les pourchassent. Dans la fusillade, Cody est mort. Dans ses affaire sils trouvent une lettre de sa femme qui l’attend. Ils continuent à exploiter le filon, mais celui-ci donnant de moins en moins ils décident de partir. En chemin, ils vont croiser des indiens qui leur demandent de l’aide pour un enfant qui s’est noyé. Howard va y aller, et il confie son magot à la garde de Curtin et Dobbs. Celui-ci devient fou, il propose d’abord à Curtin de partager l’or d’Howard, mais comme il ne le veut pas, il abat Curtin et s’en va avec toutes les mules et leur chargement. Mais Curtin n’est pas mort, les indiens le récupèrent et le ramènent à Howard qui va le soigner. Dobbs continue sa route, mais sur le chemin il rencontre les bandits en déroute qui vont l’assassiner et lui prendre ses mules. Au passage ils ont jeté l’or qu’ils pensaient être seulement du sable. Arrivés en ville, ils projettent de les vendre. Pendant ce temps Curtin, Howard et les indiens se sont lancés à leur poursuite. Les villageois de leur côté ont compris que les mules avaient été volées. Ils emprisonnent les bandits, puis les federales vont leur faire creuser un trou et les exécuter. Howard et Curtin finissent par arriver. Mais leurs avoirs ont disparu, ils se rendent sur le lieu où les bandits ont dispersé leur or, mais le vent à dispersé toute leur fortune. Howard va s’installer dans le village des indiens où il est apprécié, et Curtin, va retourner en Amérique auprès de la veuve de Cody. 

    Le trésor de la Sierra Madre, The Treasure of the Sierra Madre, John Huston, 1948

     Dobbs tape pour la troisième dois un riche américain 

    Sans entrer dans les détails, disons que le film est très respectueux de l’ouvrage de B. Traven. D’ailleurs les adaptations de John Huston des grands auteurs de la littérature, de Melville à Lowry en passant par  Joyce, sont très fidèles, enfin, autant qu’on le peut au cinéma. C’est un film très complexe, plein. John Huston le considérait comme un de ses préférés. Sous les dehors d’un film d’aventures, peut-être comme Moby Dick d’ailleurs, c’ets une fable sur la destinée. Mais en même temps c’est aussi un film matérialiste, en ce sens que les conditions sociales sont le support de la conscience humaine. En effet, les rêves des trois compagnons qui s’engagent dans cette aventure vont être contrariés par l’environnement matériel. Dobbs n’est pas forcément un mauvais garçon. Et nous le voyons au début être révolté par sa propre misère, puis par la trahison de McCormick. Pourtant, la possibilité de tripler sa fortune va l’amener à voler le vieil Howard et à abattre Curtin. Il illustre d’ailleurs cette idée selon laquelle l’or rend fou. Idée certes qu’on trouve chez Traven, mais qui est également chez Blaise Cendrars, avec le personnage du général Sutter, que Traven avait probablement lu[3]. Et puis bien sûr chez Jack London[4]. 

    Le trésor de la Sierra Madre, The Treasure of the Sierra Madre, John Huston, 1948 

    Curtin et Dobbs échouent dans un asile de nuit 

    Dans ce monde d’aventuriers sans foi ni loi, les amitiés sont promptes à être trahis. Le vieil Howard qui a compris la vie le pardonne d’ailleurs à Dobbs. Cette ambiguïté est toujours en filigrane dans le film. Par exemple les indiens qui veulent honorer Howard, pourraient très bien le tuer, si par mégarde il s’avisait de leur faire défaut. Dobbs est travaillé par sa conscience, quoi qu’il en dise, à la manière du Caïn de Victor Hugo. S’il abat facilement Curtin, il n’ose pourtant pas aller jusqu’au bout e »t lui mettre une balle dans la tête. Mais tous ces aventuriers qui se moquent un peu de la loi ordinaire ne sont pas des traitres en puissance. Howard et Curtin au fond s’entendent plutôt bien, même si le paratge de l’or les a rendu méfiants l’un envers l’autre. ils ont même des attentions envers Cody qui est mort, mais qui les a sauvé des bandits. Ils pensaient d’abord lui donner une part, puis Curtin ira voir sa femme. Certes on comprend bien qu’il tentera de se mettre en ménage avec elle, mais il y a de la compassion aussi. 

    Le trésor de la Sierra Madre, The Treasure of the Sierra Madre, John Huston, 1948

    Dobbs et Curtin ont retrouvé McCormick 

    Ces hommes rudes s’ils sont travaillés par la fièvre de l’or, c’est parce qu’ils sont eux-mêmes de basse extraction. Ils flirtent en permanence avec la misère. Ils n’ont connu que ça, et pire encore quand ils arriveront au bout de leurs efforts, potentiellement riches, ils dégringoleront de leurs rêves. Le film est donc divisé en deux parties, la première est celle de l’ascension vers les sommets et la montagne symbolise cette aspiration. La seconde partie c’est la dégringolade sans retenue. En réalité ils ont fait fausse route en cherchant de l’or. C’est la leçon du vieux Howard. Il trouve la paix chez les indiens, des gens simples qui se contentent de ce que la nature leur donne. C’est pourquoi il encouragera Curtin à le rejoindre par un autre chemin, en allant travailler dans une ferme, fonder une famille, vivre tranquillement, autrement dit abandonner l’idée de devenir riche. 

    Le trésor de la Sierra Madre, The Treasure of the Sierra Madre, John Huston, 1948 

    Les trois hommes exploitent le filon 

    Le film va jouer sur l’opposition entre le Mexique et les Etats-Unis, mais aussi sur celle entre les Indiens et les bandits mexicains. C’était une des obsessions de Traven que de mettre en scène cette forme de racisme qui existait entre les ethnies. On a donc une hiérarchie claire. Les Etats-Unis se pensent au-dessus du Mexique, et les Mexicains d’origine espagnole au-dessus des Indiens. Le film va renverser cette perspective. Ceux qui moralement sont en haut, ce sont les Indiens qui vivent dans un grand dénuement matériel mais qui savent manifester de la reconnaissance et de la générosité. Le schéma sera repris dans The Wild Bunch de Peckinpah. C’est très clair dans les deux cas les jeunes échouent, et le vieux survit parce qu’il n’est pas rongé par la cupidité. Howard a inspiré manifestement le personnage de Freddie Sykes interprété par Edmond O’Brien. Peckinpah a copié des plans entiers du film de John Huston, par exemple quand les Indiens s’approchent sans bruit et apparaissent armés de leurs machettes, ou la façon dont les Indiens donnent l’hospitalité en offrant le peu qu’ils ont. Peckinpah avait la même attirance que Huston pour le Mexique, le Mexique des profondeurs de la jungle, celui aussi de Traven. Evidemment cela a pour but de faire ressortir les défauts du mode de vie américain. Celui-ci parait sans grandeur, trop utilitariste.  

    Le trésor de la Sierra Madre, The Treasure of the Sierra Madre, John Huston, 1948

    Ils ont décidé de partager l’or 

    On a assimilé souvent John Huston à un cinéaste de la fatalité et de l’échec. Ce n’est pas faux, mais on doit plutôt parler de destinée, avec la marge d’incertitude que cela comporte. Une des scènes les plus émouvantes c’est le sauvetage de ce petit garçon qui s’est noyé. C’est un peu Moïse si on veut. Il va ranimer le village en même temps qu’il va renaitre et « obliger » la communauté à adopter le vieux Howard et faire tout pour le garder avec eux, plus comme un porte bonheur que comme un médecin. Cette référence biblique est tout à fait intentionnelle et du reste elle est accompagnée par la symbolique du désert, le lieu de la rédemption et de la révélation. C’est le lieu ou Dobbs médite sur ses mauvaises actions, et c’est ici qu’il rencontrera la mort, n’ayant pas surmonté  l’épreuve du désert. 

    Le trésor de la Sierra Madre, The Treasure of the Sierra Madre, John Huston, 1948

    Cody qui a suivi Curtin a rejoint le campement

    Bertrand Tavernier et Jean-Pierre Coursodon avaient en leur temps dit pis que pendre de ce film, le jugeant trop académique[5]. Mais c’est une erreur. On peut très bien critiquer les choix du metteur en scène de ne pas donner plus d’importance aux décors, mais il ne s’agit pas d’une balade touristique, comme c’est souvent le cas dans les films américains de cette période qui se passe au Mexique, même quand ce Mexique désigne un ailleurs, un recommencement. Ce qui domine c’est bien le fait que ce film soit tourné presqu’entièrement à l’étranger. John Huston s’est appuyé à cette époque sur des équipes de Mexicains, et il disait qu’il en avait été content. Il avait fait miroiter cette délocalisation, en accord avec Traven d’ailleurs, comme une possibilité pour la Warner de faire des économies ! En vérité ils n'en feront pas, dépassement après dépassement, le budget avoisinera les trois millions de dollars, ce qui était énorme pour l’époque. Le style du film est difficile a définir. Ce n’est ni un film d’aventures, ni un western, et ni un film noir. Mais John Huston réussit de nombreuses prouesses, sans doute moins dans la mise en scène de l’exploitation de la mine ou de la bataille avec les bandits, que dans les travelings utilisés pour parcourir Tampico, ou dans ces plans larges destinés à nous faire sentir le poids de la ville et le poids du nombre.   

    Le trésor de la Sierra Madre, The Treasure of the Sierra Madre, John Huston, 1948

    Les bandits veulent voler les trois hommes

    Alors que l’histoire est censée se passer au soleil, sous une chaleur écrasante, la tonalité du film est sombre. L’asile de nuit, les bars, la tente où dorment les trois hommes qui sont forcés de cohabiter, tout cela va donner une allure claustrophobe, l’idée d’un enfermement mental. Bien sûr il y a beaucoup de plans resserrés, champ contre-champ dans les dialogues entre les trois chercheurs d’or, mais il y a aussi des plans très recherchés, presque penchés à la manière de son ami Orson Welles que John Huston utilise souvent pour faire ressortir des relations de domination, ou l’accablement des hommes à la recherche d’une motivation pour continuer à vivre encore. Bien qu’il dure plus de deux heures, un exploit pour l’époque, on ne s’ennuie pas notamment à cause d’un montage rapide. Certaines scènes ont été coupées, John Huston avait tourné la décapitation de Dobbs par les bandits mexicains, avec la tête qui roule vers le ruisseau, mais le studio trouva que c'était un peu trop dur pour les spectateurs de l'époque. mais n'est-ce pas cette idée qu'on retrouve dans le film de Peckinpah Bring Me the Head of Alfredo Garcia ? Ce qui nous renforce dans notre conviction que Peckinpah était aussi un héritier de John Huston ! 

    Le trésor de la Sierra Madre, The Treasure of the Sierra Madre, John Huston, 1948

    Les indiens sont venus demander de l’aide 

    L’interprétation est excellente, Humphrey Bogart dans le rôle de Dobbs passe de la crapule au bon garçon qui pourrait se montrer généreux, au fou furieux, gagné à la folie du métal jaune. Il aura tourné en tout sept films sous la direction de John Huston, ils en étaient au troisième et la même année ils tourneront aussi Key Largo. Il y avait une vraie complicité entre eux, ils passaient beaucoup de temps ensemble à se torcher et à faire la fête. Mais sur ce film ils se sont accrochés méchamment, en venant aux mains, John Huston déclarant avoir été obligé de lui tordre le nez, littéralement ! John Huston avait aussi engagé son père pour tenir le rôle du vieil Howard. Là aussi cela ne se fit pas sans mal. Walter Huston aurait en effet préféré tenir le rôle de Dobbs, se croyant encore assez jeune. Mais son interprétation fut très remarqué et lui fit obtenir un Oscar et un Golden Globe, volent le plus souvent la vedette à Humphrey Bogart lui-même.  Tim Holt dans le rôle de Curtin est bien, mais moins bon que les deux autres acteurs. Ça tient sans doute à un physique plus lisse. Derrière ce trio on a de très bons seconds rôles, d’abord Barton MacLane qui prête son physique de brute épaisse à l’escroc MacCormick. Puis, Bruce Bennett dans le rôle de Coy, et même John Huston incarne l’Américain riche qui va dépanner Dobbs. Robert Blake débutait dans la carrière d’acteur dans le petit rôle du vendeur de billets de loterie. Alfonso Bedoya l’acteur mexicain qui incarne gold hat, le chef des bandits en fait des tonnes, mais ça va bien avec l’esprit du film 

    Le trésor de la Sierra Madre, The Treasure of the Sierra Madre, John Huston, 1948

    Dobbs veut voler Curtin et Howard 

    A voir et à revoir The Treasure of the Sierra Madre, on y trouve toujours de nouvelles perspectives. Le film ne fut pas un énorme succès à sa sortie, même s’il a bénéficié de très bonnes critiques. Stanley Kubrick disait que c’était son film préféré. John Huston récolta, en plus de l’Oscar de son père, deux autres Oscars, celui du meilleur réalisateur et celui de la meilleure histoire adaptée au cinéma. Mais c’est surtout avec le temps que ce film est devenu un classique. C’était un film qui dans le temps passait dans les ciné-clubs, le plus souvent dans des copies assez pourries, aujourd’hui on peut le voir en Blu ray, avec une belle définition et des bonus intéressants, notamment un docvumentaire qui rappelle la carrière de John Huston. 

    Le trésor de la Sierra Madre, The Treasure of the Sierra Madre, John Huston, 1948

    Howard soigne Curtin qui a été blessé par Dobbs 

    Le trésor de la Sierra Madre, The Treasure of the Sierra Madre, John Huston, 1948 

    Les bandits ont rattrapé Dobbs et veulent le dépouiller 

    Le trésor de la Sierra Madre, The Treasure of the Sierra Madre, John Huston, 1948

    Les villageois s’aperçoivent que les mules vendues par les bandits ne sont pas à eux  

    Le trésor de la Sierra Madre, The Treasure of the Sierra Madre, John Huston, 1948

    Le trésor de la Sierra Madre, The Treasure of the Sierra Madre, John Huston, 1948 

    Les Huston père et fils recevant leurs Oscars pour The Treasure of the Sierra Madre 


    [1] http://alexandreclement.eklablog.com/b-traven-la-charrette-la-decouverte-2005-a114844992 http://alexandreclement.eklablog.com/b-traven-le-visiteur-du-soir-stock-1967-a114844996 http://alexandreclement.eklablog.com/b-traven-le-pont-dans-la-jungle-gallimard-2001-a114844998 http://alexandreclement.eklablog.com/b-traven-la-revolte-des-pendus-die-rebellion-der-gehenkten-1936-a114844990

    [2] John Huston, An Open Book, Knopf, 1980.

    [3] Blaise Cendrars, L’or, Grasset, 1925

    [4] La ruée vers l’or, nouvelles regroupées et traduites chez Bartillat, 2012.

    [5] Bertrand Tavernier et Jean-Pierre Coursodon, 50 ans de cinéma américain, Nathan, 1991.

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