-
La nuit du chasseur, The night of the hunter, Charles Laughton, 1955
C’est un film unique dans tous les sens du terme. D’abord parce que c’est le seul que Charles Laughton a réalisé. Ensuite parce que c’est un film noir tellement stylisé qu’il accède au rang de mythe. Bien sûr ce n’est pas le seul film sur les prêcheurs un peu pourris, un peu escroc, mais curieusement cela donne très souvent de très bons films, The Night of the Hunter semble être le premier de cette liste d’œuvres sulfureuses et critiques, il y a aussi Elmer Gantry de Richard Brooks en 1958, et plus tard Wise Blood de John Huston en 1979. Mais ici il n’y a pas de doute, le « héros » est seulement un escroc et très peu un illuminé. C’est très spécifiquement américain, une histoire pareille n’aurait aucun sens dans un autre pays, et ce d’autant plus que c’est le Sud profond qui en est le décor, ce Sud aui a été une pépinière de grands écrivains. Mais ça se passe aussi pendant cette période particulière d’effondrement de la nation, c’est-à-dire durant la Grande Dépression qui vit m’explosion d’une criminalité multiforme sanglante et ruineuse. Adapté du superbe roman de Davis Grubb, un écrivain qui connu le succès puis la déconfiture au point de finir semi-clochard, le scénario est de James Agee, retravaillé par Charles Laughton lui-même. James Agee était un grand scénariste, il avait même écrit un scénario qui ne s’est jamais tourné pour Charles Chaplin. C’était une sorte d’histoire post-apocalypse où il imaginait New York ravagée par une bombe atomique, revisitée par Charlot le vagabond qui dessinait les contours d’une nouvelle société[1]. James Agee n’aura pas eu l’occasion de voir le film terminé, il est mort pendant la post-production. Mais comme on va le voir ce n’est pas un film qui a des intentions sociales comme cela pouvait l’être pour William Wellman avec Beggars of life[2] ou pour John Ford avec The Grapes of Wrath.
Harry Powell est un escroc qui se fait passer pour un prêcheur, mais qui est aussi un assassin en série qui extermine les veuves qui ont eu le tort de se trouver sur son chemin. Il se retrouve en prison pour le vol d’une voiture. Là il va partager la cellule de Ben Harper qui a attaqué une banque et qui a tué. Ben Harper est condamné à être pendu. Mais avant d’être pris, il a eu le temps de cacher le produit de son hold-up, 10 000 $. Seul ses enfants savent où le butin se trouve. Harry Powell va donc avoir l’idée de mettre la main sur le magot. Pour cela il va épouser la veuve Willa, une pauvre fille qui est poussée par sa patronne dans le sens de ce remariage. Le faux révérend arrive donc dans la petite ville. Il va se faire adouber par le village en racontant des histoires sur le bien et le mal et en parlant du seigneur. John, le fils de Ben Harper, cependant se méfie d’Harry Powell. Cependant celui-ci va arriver à épouser Willa. La jeune veuve croit qu’elle va avoir une relation normale avec un époux pieux, mais normal, mais elle déchante dès sa nuit de noces quand elle comprend qu’Harry ne veut pas de relations charnelles. Celui-ci cependant s’installe dans la vie de la petite cité et entre deux prêches mène son enquête auprès de sa femme et des enfants pour tenter de localiser le magot.
Ben Harper a été arrêté par la police
C’est un échec. Les enfants ne parlent pas et Willa ne sait rien. Harry a alors l’idée de faire disparaître son épouse à qui il tranche la gorge, de façon à pouvoir disposer des enfants et les terroriser pour qu’ils parlent. Il raconte à tout le monde que sa femme l’a quitté et qu’il doit maintenant tout seul s’occuper des enfants. Mais pendant que tout cela se met en place l’oncle Birdie en allant à la pêche découvre le cadavre de Willa au fond de l’eau dans la voiture. Cependant il a peur d’être accusé du meurtre et décide de ne rien dire. Il préfère se saouler. Harry Powell pense qu’en terrorisant les enfants, en les menaçant de son couteau, ils vont finir par céder. Mais John est plus malin, indiquant à Harry la cave comme cachette, il arrive à s’en débarrasser en l’assommant en faisant tomber des étagères sur lui. Les deux enfants s’enfuient, poursuivis par le faux révérend, ils réussissent à monter dans la barque de leur vrai père que l’oncle Birdie avait réparée et se laissent dériver sur la rivière. Ce long voyage, poursuivis par l’abominable Harry, les amène chez Rachel Cooper. Celle-ci a récupéré plusieurs enfants de la crise. Elle les prend tous en charge et vend des produits de sa ferme au marché pour subvenir à ses besoins. Parmi ces enfants, il y a la jeune Ruby qui est fortement attirée par les lumières de la ville et les garçons. Un soir, alors qu’elle est censée suivre des leçons de couture, elle tombe sur Harry. Elle lui raconte qu’en effet Rachel Cooper a bien recueilli les enfants John et Pearl. Harry se présente sur le cheval qu’il a volé chez Rachel Cooper et prétendant qu’il est le père de John et Pearl les réclame. Mais John dit qu’il n’est pas leur père. Harry leur court après, mais la vieille femme le chasse en menaçant de son fusil. La nuit il revient rôder autour de la maison. Mais Rachel Cooper qui veille, lui tire dessus et le blesse. Elle va appeler les policiers qui finissent par l’embarquer. Harry sera jugé et condamné à la pendaison et les enfants pourront fêter Noël dans une certaine sécurité.
John voit une ombre se dessiner sur le mur
Le film laisse des impressions multiples et contradictoires. Comme le souligne Philippe Garnier, c’est d’abord une fable et tout le long du film tout le monde raconte des histoires. Le faux révérend, beau parleur, qui met en scène avec ses tatouages l’histoire du bien et du mal. Mais aussi Rachel Cooper qui passe son temps à raconter la Bible d’une manière imagée. Et c’est cet aspect qui rend le film aussi singulier. Si c’est une fable, ce n’est donc pas si sérieux que ça, on joue à se faire peur, et le personnage du faux révérend est une sorte d’ogre dont la fonction principale est d’abord de faire peur aux enfants pour les mener dans le droit chemin. On est dans le domaine du conte de fée, et cela va expliquer la stylisation excessive du film. Il y a donc d’abord le point de vue des enfants qui sont atterrés par le comportement stupide et criminel des adultes. Le regard de John ou même celui des enfants recueillis par Rachel Cooper, en dit long sur ce qu’ils pensent de ce monde d’adultes incapable de les protéger. L’oncle Birdie est exemplaire, alors qu’il a promis d’aider John après la mort de son père, sans doute de bonne foi, il démission de son rôle en se saoulant la gueule parce qu’il est lâche. La mère est un peu simple, elle accepte de passer sous la coupe d’Harry, et elle se rendra compte bien trop tard qu’elle court à sa perte, mais là encore, elle démissionne de son rôle de mère pour suivre Harry dans son délire verbal et inciter les malheureux qui les écoutent à se repentir. Le couple qui emploie Willa dans sa boutique, n’est pas plus clairvoyant, toujours prompt à prendre le parti du pouvoir, ils poussent Willa à épouser Harry, mais pire encore, lorsqu’Harry sera pris et jugé pour meurtre, ils seront les premiers à vouloir le lyncher.
Willa se prépare pour sa nuit de noces
Dans cette opposition entre les adultes et les enfants, le message est assez clair, les adultes sont des enfants dégénérés qui comprennent encore bien moins les choses de la vie que les tout-petits. Seule Rachel Cooper l’a compris. Elle est au fond restée une enfant qui a vieilli sans perdre son âme d’enfant. Il faut la voir marcher, entraînant à sa suite, telle une mère canard l’ensemble de cette curieuse famille. Elle est en quelque sorte le pivot du film. Dès qu’elle apparaît, on comprend qu’elle va remettre de l’ordre dans ce chaos. Elle fera marcher les gosses à la baguette et les défendra contre le monde entier et contre eux-mêmes. Elle est la figure opposée d’Harry Powell. Elle représente l’espoir car Charles Laughton n’est pas capable de faire un film désespéré. Mieux encore elle comprend les pulsions humaines, l’attirance de Ruby pour le sexe opposé, tandis que le faux révérend réprime ses propres instincts sexuels, remplaçant son sexe impuissant par un couteau.
Harry Powell transforme sa nouvelle épouse
Une partie de ce film peut se lire comme une révolte contre la répression sexuelle. Harry est impuissant et veut punir sa nouvelle femme pour avoir osé manifester ses désirs. Mais la patronne de Willa, la sinistre Icey, est bâtie sur le même modèle que le révérend. Elle défend cette idée moisie selon laquelle la relation sexuelle n’est que le support de la reproduction et doit être réservée à celle-ci. Critiquer la répression sexuelle cela revient bien entendu à critiquer la religion. Certes Harry est un faux pasteur, mais il est l’image de tous ceux qui utilisent la religion pour cacher leur soif de pouvoir et leurs petits mensonges. Cette critique s’attaque plus à la forme institutionnelle de la religion qu’à la foi elle-même. C’est en dehors de tout Eglise que Rachel Cooper apprend la Bible à ses enfants. Mais la sexualité est aussi le bain dans lequel pataugent les protagonistes de ce film. Non seulement Willa se meurt de désir, mais la jeune Ruby est aussi travaillée par le sexe. Elle court après les garçons, et serait prête à se donner à l’ignoble Harry qu’elle trouve pathétique et charmant. L’attirance pour le mal est donc bien d’origine sexuelle. Le personnage compliqué d’Harry Powell est superbe parce que c’est un salopard grandiose qui cumule à peu près tous les défauts de la Création. Non seulement c’est un criminel, mais il est menteur, cupide, et en plus lâche. Il a peur de la frêle Rachel Cooper, et il couine comme un goret qu’on égorge quand il reçoit du plomb dans les fesses.
Les enfants cachent l’argent dans la poupée de Pearl
La dérive des enfants sur la rivière, c’est bien sûr l’image du passage vers l’âge adulte. Le fil de l’eau c’est bien entendu le sens même de la vie. Ils partent d’un trou perdu pour se rendre sans trop le savoir vers la ville, la ville qui représente à la fois une protection, mais aussi un piège. Voir comment Ruby est attirée par les magazines de cinéma et les lumières au néon. On note que cette dérive décrit une Amérique rurale en voie de modernisation accélérée, et cette perte d’innocence se manifestera par l’image des bêtes que les enfants croisent sur leur chemin. On y verra des lapins, des grenouilles, des hiboux, des tortues et des moutons. Toutes ces petites vies qui donnent du sens à la relation qu’on peut entretenir avec la mère nature. C’est tout un bestiaire qui va défiler à l’écran. Et cela renforce l’aspect fabuleux de l’histoire.
Harry Powell tente d’apprendre de John où se trouve l’argent
Il est également remarquable de voir l’importance des maisons dans ce film. Celles-ci sont présentées comme en exil, en endors du monde. La maison des Harper semble d’ailleurs avoir inspiré Hitchcock pour Psycho. Elle possède une personnalité. Mais elle n’est pas la seule. La cabane de l’oncle Birdie est aussi un peu comme cela, en plus pauvre et en moins tordue. Et puis il y a le havre de paix où Rachel Cooper a recueilli les enfants. Ces maisons sont un peu à l’écart de la civilisation, c’est-à-dire de la ville et de ses tentations, mais elles n’évitent pas le crime, bien que celui-ci soit importé dans les campagnes par le sinistre prêcheur. Cette contradiction entre la ville et la campagne nourrira longtemps l’imaginaire de l’Amérique qui fut d’abord une nation de paysans. Il y a du Mark Twain en effet dans cette histoire. Sauf qu’il n’y a pas cette ironie mordante, mais il y a une forme d’optimisme qui lui ressemble un peu. Quand Harry arrive à sa sortie de prison pour tenter de récupérer le magot, il arrive par le train. Cette arrivée se fait avec des plans de coupe qui annonce la menace. Mais cette menace c’est tout autant cette crapule d’Harry que le train lui-même qui amène un progrès dont on pourrait bien se passer.
Harry Powell s’apprête à tuer Willa
On a beaucoup discuté de la réalisation. Elle procède de deux caractéristiques dominantes. D’abord Charles Laughton s’inspire du muet et de Griffith en particulier – ce n’est pas un hasard si on retrouve Lillian Gish dans le rôle de Rachel Cooper. Il y a cette manière de filmer à plat avec plutôt des déplacements latéraux de la caméra. Il y a cette manie des plans larges qui donnent une allure picturale au film. je pense à ces déambulations de Rachel Cooper emmenant à sa suite les cinq enfants. La faiblesse relative du budget amène du reste à appuyer cette stylisation en usant d’effet spéciaux, comme les transparences ou les ciels étoilés manifestement des peintures sur lesquelles on a collé des étoiles et une lune. Mais paradoxalement cette pauvreté décorative aide le projet à sortir d’un réalisme étroit pour aller vers le mythe et la fable. Cela rappelle parfois les illustrés de l’ancien temps pour les enfants. A cela il faut ajouter la photo de Stanley Cortez qui magnifie les décors étriqués du film notamment quand il film l’enfermement des chambres et la monstruosité qu’elles annoncent. Le plafond est souvent l’image d’une chapelle où on devrait prier et où au contraire on y commet des meurtres. Stanley Cortez avait travaillé avec Orson Welles, donnant une allure baroque à The Magnificients Ambersons, mais il approfondira sa technique avec des films comme The Naked Kiss de Samuel Fuller[3]. Il avait été prévu sur Chinatown, mais le médiocre Polanski le vira justement pour des désaccords sur le « visuel » du film. Ici il magnifie la géométrie des décors. Son rôle est important à cause du manque de connaissances techniques de Laughton. Il a précisé plus tard le choix de la pellicule (Tri-X) qui permettait d’obtenir des noirs vraiment noirs, accentuant par là même la rareté des sources de lumière[4]. En tous les cas, des années plus tard Cortez gardait un bon souvenir de ce film et de Charles Laughton.
Le long de la rivière, John et Pearl quémande de la nourriture
Les décors réels sont très peu nombreux dans le film, mais il y en a, filmé par la seconde équipe au bord de l’Ohio. Pour le reste le décorateur Hilly Brown a recréé les maisons dont nous avons parlé ci-dessus et qui ont une allure si particulière et si allégoriques dans le film. Dans la conception visuelle de ce film on peut donc dire sans se tromper que si les idées générales étaient bien de Laughton, elles n’ont pu être réalisées que par une équipe très soudée autour du projet. Charles Laughton était à l’écoute, et Stanley Cortez lui a même suggéré des éléments pour la bande son inspirée pour partie par La valse triste de Sibelius. Car la musique joue aussi un rôle singulier dans le film, elle donne du rythme à l’image plutôt que de souligner leur signification particulière.
Harry Powell prêche chez les hobos
La distribution c’est d’abord Robert Mitchum dans le rôle d’Harry Powell. Ce fut pour lui un rôle marquant, même s’il s’est disputé tout le long du tournage avec Laughton, mais aussi avec le producteur Paul Gregory au point d’aller pisser sur sa voiture ! Il était rond comme une queue de pelle, du matin jusqu’au soir. Mais cela ne nuit pourtant pas à son rôle. A quelques exceptions près – je pense au moment où il se réfugie dans la grange en couinant après que Rachel Cooper lui ait tiré dessus – il reste toujours juste, alternant le côté menaçant et violent avec un aspect plus cauteleux. C’est sans doute un de ses meilleurs rôles, en tous les cas atypique. Il est curieux qu’une immense vedette comme lui en 1955 se lance dans cette aventure, mais au fond il n’était pas hostile aux expériences, il en multipliera même un certain nombre. Mais sans doute en acceptait-il le défi. On a beaucoup souligné sa performance, mais on a moins insisté sur celle de Lillian Gish, gloire du muet, qui pourtant, bien que moins présente à l’écran par la force des choses, apporte énormément à cette œuvre. A cette époque elle faisait son grand retour, et obtiendra encore malgré son âge des rôles importants notamment dans The Unforgiven de John Huston. Elle est vraiment parfaite dans ce rôle d’une vieille dame généreuse qui probablement a perdu son fils et qui se tourne vers les enfants des autres pour les accueillir et les sauver.
Depuis la grange où les enfants se sont réfugiés, John voit arriver Harry Powell
Shelley Winters qui emmerda aussi beaucoup Charles Laughton sur le tournage pour des raisons diverses et variées, est pourtant excellente dans le rôle de cette cruche faible et qui ne demande finalement à être assassinée. A la ville c’était une femme des plus énergiques, mais à l’écran elle a souvent eu des rôles de femme faible et dominée par les mâles. Elle est tout à fait étonnante en Willa, cette femme qui attend qu’on la baise ou qu’on la tue ! Malgré ses extravagances sur les plateaux, elle a toujours été une grande actrice, malgré son physique un peu juste, ou peut-être justement à cause de ça. Les enfants sont très bien aussi. John est joué par le déjà vétéran Billy Chapin qui avait du haut de ses douze ans déjà dix films au compteur, dont deux films noirs majeurs, Naked Alibi de Jerry Hopper[5] et l’excellentissime Violent Saturday de Richard Fleischer juste avant The Night of the Hunter[6]. Mais il abandonnera le métier un an après sans qu’on en connaisse les raisons. Il décédera d’un cancer des poumons en 2016 après avoir connu semble-t-il des problèmes de drogue et d’alcool. Sally Jane Bruce que tout le monde disait insupportable sur le tournage, tient pourtant tout à fait sa place. Elle avait six ans et interprétait une petite fille de 4 ans, ce qui était possible à cause de son visage rond de poupée. Elle aussi laissera tomber le métier, et deviendra enseignante. Les autres seconds rôles sont tout à fait à la hauteur.
Rachel Cooper raconte des histoires aux enfants
Comme on le sait ce film fut un fiasco complet à sa sortie, la critique, y compris en France le versatile François Truffaut, n’a pas été tendre avec lui, et le public ne s’y est pas intéressé. Peut-être est-ce pour cela que Laughton abandonna l’idée de continuer à mettre en scène au cinéma. C’est dommage car il avait trouvé dès son premier film un vrai style. Mais au fil des années il a été réhabilité dans les grandes largeurs et est considéré maintenant comme un classique du film noir en particulier et du cinéma en général. Il a fait son chemin, d’abord dans les ciné-clubs et puis les rééditions en DVD et Blu ray sont aussi très nombreuses.
Ruby est attirée par la ville et les garçons
Rachel Cooper veille, le fusil à la main
Rachel Cooper guide les enfants
La qualité de la photo et de son noir profond justifie la réédition très soignée de Wild Side, d’autant que celle-ci est accompagnée d’un livret de Philippe Garnier extrêmement passionnant. C’est le genre de film qu’il faut voir plusieurs fois – peut-être en espaçant les visites – pour en retirer toute l’importance.
[1] En 2021 Zoe Beloff a présenté un film d’une durée d’une heure sur James Agee et justement ce scénario
[2] http://alexandreclement.eklablog.com/les-mendiants-de-la-vie-beggars-of-life-william-wellman-1928-a183166896
[3] http://alexandreclement.eklablog.com/police-speciale-the-naked-kiss-samuel-fuller-1964-a130421990
[5] http://alexandreclement.eklablog.com/alibi-meurtrier-naked-alibi-jerry-hopper-1954-a125054522
[6] http://alexandreclement.eklablog.com/les-inconnus-dans-la-ville-violent-saturday-richard-fleischer-1955-a130454586
« Alphonse Boudard, Le vin quotidien, éditions du May, 1993 Alphonse Boudard & Marcel Azzola, La valse musette et l’accordéon, Solar, 1999 »
Tags : Charles Laughton, Robert Mitchum, Shelley Winters, Davis Grubb, film noir, Lillian Gish
-
Commentaires