• Le salaire de la peur, Henri-Georges Clouzot, 1953

     Le salaire de la peur, Henri-Georges Clouzot, 1953

    Après le demi-succès de Manon, Clouzot s’est essayé à la légèreté avec Miquette et sa mère. Le résultat fut décevant. Il y avait pourtant des acteurs célèbres, Bourvil et Louis Jouvet, mais ni le public ni la critique ne s’y intéressèrent vraiment. C’est un film pour une fois qui mérite d’être oublié. Il n’y a rien à en tirer. Donc après avoir participé au film à sketch Retour à la vie, il va chercher à retrouver le succès. Il va donc revenir à ce qui a été un des éléments de son succès, le film noir. Pour cela il va s’appuyer sur un roman à succès de Georges Arnaud, Le salaire de la peur. Le roman est déjà un gros succès. Il est dû à la plume d’Henri Girard qui a été accusé d’avoir massacré les personnes qui se trouvaient dans le château de son père. La plaidoirie de Maurice Garçon fera pourtant la différence et Henri Girard sera acquitté. Il partira pour l’Amérique latine, histoire de se faire oublier en menant une vie d’aventures. Et de ce séjour il en ramènera plusieurs récits de camionneur écrits sous le pseudonyme de Georges Arnaud, dont Le salaire de la peur, son premier roman en 1950, Le voyage du mauvais larron en 1951, ou encore Les oreilles sur le dos en 1963. Il deviendra aussi un auteur engagé dans la lutte des Algériens pour l’indépendance. Philippe Jaenada raconte cette étrange histoire dans La serpe[1], un très bon roman, très documenté, très partial toutefois puisqu’il suppose sans vraiment apporter de preuve décisive que Henri Girard était innocent. Sous le nom de Georges Arnaud il devint célèbre, du moins pour un moment, car il dilapida rapidement ce capital de popularité. L’adaptation de Clouzot renforcera cette célébrité, le roman ayant été réédité de multiples fois. Philippe Jaenada n’aime pas l’adaptation du roman à l’écran, comme Georges Arnaud d’ailleurs, il la trouve clinquante et assez peu réaliste, édulcorée. Notez que quelques temps auparavant, Clouzot avait fait un séjour au Brésil et avait été séduit par l’Amérique latine. Mais il est rare que les auteurs de roman soient contents des adaptations qu’on en fait. Les raisons à cela sont compliquées, d’abord il y a le fait que les exigences du cinéma et du roman ne peuvent pas être les mêmes, ne serait-ce que pour des raisons techniques. Pour Le salaire de la peur, il fallait trouver des paysages qui correspondaient à peu près à la logique du récit, et il n’était pas question de déplacer toute l’équipe en Amérique du sud pour des raisons budgétaires, mais aussi parce qu’Yves Montand ne voulait par tourner là-bas, comme il refusa aussi de tourner en Espagne à cause de Franco. Ensuite, il y a la part de créativité du réalisateur et des scénaristes qui dépendent aussi de l’idée qu’ils se font du roman. Pour ces raisons, on ne s’amusera pas à pointer les différences entre le roman et le film. Disons que si le livre de Georges Arnaud est plus centré sur la lutte des classes et la misère des lieux, le film insiste plus sur le suspense et la dangerosité du voyage. 

    Le salaire de la peur, Henri-Georges Clouzot, 1953

     

    Las Piedras est une contrée perdue du Guatemala. Ici ont échoué un certain nombre d’aventuriers comme Mario qui n’arrive pas à trouver l’argent pour partir. En attendant il mène une idylle un peu bancale avec la jeune Linda qui est serveuse chez Hernandez qui la baise aussi. Arrive un truand plus ou moins en cavale, Jo. Mario se raccroche à lui espérant qu’il trouve une issue pour débloquer sa situation. Dans le bar d’Hernandez il y a des clans qui se détestent. Jo fait le dur et agresse Luigi le compagnon de chambre de Mario. L’ouverture va venir de la SOC, une société américaine qui gère l’extraction du pétrole dans des conditions peu respectueuses des travailleurs. Mais un puits de pétrole vient d’exploser et la société a besoin de quatre conducteurs qui amèneront avec deux camions de la nitroglycérine jusqu’au puits de pétrole pour souffler l’incendie. C’est bien payé, 2000 $  par conducteur, essentiellement parce qu’ils vont risquer leur vie. O’brien qui a bien connu Jo dans son passé d’aventurier, se charge de les sélectionner. Il va choisir Luigi, Bimba, Mario et Smerloff. Mais Jo va se débrouiller pour écarter Smerloff et prendre sa place auprès de Mario. Linda tente d’empêcher le départ de Mario, mais celui-ci l’écarte. Les deux camions partent, mais rapidement Mario s’aperçoit que Jo crève de trouille. Ils sont dépassés par Luigi et Bimba qui semblent s’entendre très bien. Les obstacles se multiplient, d’abord un virage difficile qui oblige les camions à reculer sur une sorte de passerelle suspendue dans le vide. Bimba et Luigi passent, mais c’est plus difficile pour Mario et Jo. Ce dernier s’enfuit, Mario le rattrape et le bat, prenant définitivement l’ascendant sur lui. Plus loin la route est obstruée par un gros rocher que Bimba va faire sauter avec un peu de nitroglycérine. La voie est dégagée. Mais Luigi et Bimba vont sauter sans qu’on sache très bien pourquoi. Cet accident mortel a éventré un tuyau qui débite du pétrole et qui remplit une sorte de mare. Mario envoie Jo tester la profondeur, et en le suivant, il ne peut pas s’arrêter sous peine de rester enlisé, il écrase la jambe de Jo. Finalement ils arrivent jusqu’au puits de pétrole, Jo décède à l’arrivée. Mario que les ouvriers du puits de pétrole saluent, va encaisser 4000 $, sa part plus celle de Mario. Malgré tout il est content aussi bien d’être le survivant que de l’argent qu’il a gagné. Il téléphone à Las Piedras pour signaler son retour, ce qui met en joie Linda. Dans l’établissement d’Hernandez, tout le monde danse. Mario est tellement content qu’il s’amuse avec son camion au rythme d’une valse de vienne qui passe à la radio. Son contentement se révèle aussi bref que mortel, un mauvais coup de volant l’envoie dans le décor. 

     

    Le salaire de la peur, Henri-Georges Clouzot, 1953 

    Mario attend que quelque chose se passe 

    Si ce film a été très apprécié et qu’il reste toujours vu, c’est sans doute à cause de la thématique dense et complexe. Au premier abord, c’est une histoire de misère et de peur. Des aventuriers sont bloqués dans un coin perdu et tentent de s’en échapper. La misère est représentée par l’exploitation éhonté des travailleurs locaux par la compagnie de pétrole américaine qui pille le pays. Le premier thème sera donc celui d’aventuriers sans conscience de classe qui par cupidité vont pratiquer un jeu dangereux. La fatalité réglera la note de cette inconséquence. Cette fatalité apparaît comme la conséquence de leur désespoir. Jo est en cavale, Bimba est un soldat perdu, Luigi est malade. C’est un ultime défi qu’ils lancent à la mort. Ce sont des êtres humains venus de nulle part, à la dérive, ils restent en marge de la population locale. Derrière ce thème il y en a un autre peut-être plus important, c’est la question de la virilité et de l’amitié virile. Mario délaisse Linda parce qu’il est subjugué par Jo qui le tient dans un premier temps dans un rapport de dépendance. Dans la relation entre Jo et Mario se joue un jeu particulier qui est fait d’amour et de soumission. Jo impressionne dans un premier temps, mais dès qu’il va laisser voir qu’il a peur, et qu’il ne contrôle pas sa peur, son prestige va s’envoler. Le rapport de force va se transformer et c’est Mario qui devient le maître. Lorsqu’il bat Jo et le soumet à sa volonté, il a l’attitude du maquereau avec sa pute. Il est facile de voir dans ces rapports quelque chose d’érotique, d’autant que les corps de dénudent partiellement. Cependant, les rapports entre Bimba et Luigi sont bien plus équilibrés et faits de respect. On remarque que les personnages fonctionnent par couples et que ces couples se jalousent. Jo et Mario, Luigi qui déteste Jo et Bimba, mais aussi le couple que forment Jo et O’brien sur lequel le premier n’a pas de prise. La jalousie est un motif, le couple Hernandez-Linda, renvoie au couple Mario-Linda. Et si Hernandez ne dit rien des aventures de Linda avec Mario c’est parce qu’il craint le rapport de force avec lui. Dans cet univers masculin et violent, il faut montrer les dents pour se faire respecter et ne pas disparaître. 

    Le salaire de la peur, Henri-Georges Clouzot, 1953

    Jo impressionne les gens de Las Piedras 

    C’est évidemment un film d’action, et cette action met en scène la peur. Cette peur est double, d’abord elle est extérieure, elle est le résultat du transport de la nitroglycérine. Ils savent qu’à tout moment le camion peut sauter. Mais elle est aussi intérieure en ce sens que dans cet univers décomposé, tout le monde se méfie de tout le monde, et tout le monde essaie de fuir. Les rapports entre les hommes vont se focaliser sur la capacité de chacun à surmonter sa peur. Dès qu’il y en a un qui flanche, il est rétrogradé, à l’inverse celui qui réussit à surmonter sa peur et qui se montre compétent est félicité et applaudi. Cette configuration désigne le milieu comme le lieu de la concurrence. Cette forme de darwinisme élimine les plus faibles et on ne s’attarde guère à pleurer ceux qui disparaissent comme dit Mario en parlant de Bimba et de Luigi, ils savaient les risques qu’ils prenaient. Cependant dans cette aventure il y a tout de même un peu de place pour une forme d’humanité. Mario qui pourtant méprise Jo, manifestera de la peine lorsqu’il comprendra qu’il va mourir. Certes cette peine sera de courte durée, elle disparaitra derrière son gain, mais elle est suffisante pour donner une idée de l’ambiguïté des caractères chez des hommes qui se veulent durs et qui par instant retrouve une idée de solidarité humaine. Mario prendra Jo dans ses bras pour l’accompagner vers le trépas. 

    Le salaire de la peur, Henri-Georges Clouzot, 1953

    Les clients du café d’Hernandez vont à l’enterrement 

    En dehors de l’aspect humain, c’est un film de camion, genre particulier où on compte un certain nombre d’excellents films, aux Etats-Unis – par exemple Thieves’ Highway de Jules Dassin[2] – ou en France – par exemple Gas-oil de Gilles Grangier[3]. Dire que c’est un film de camions, cela veut dire que l’homme s’affronte à une machine qu’il lui faut dominer. Cette machine est l’équivalent d’un monstre moderne, une sorte de Moloch qui dévore ceux qui l’approchent. On verra ainsi Jo d’abord poussé dans le ravin par le camion, puis il sera écrasé par lui. C’est comme si le camion avait une vie propre et que cette technologie moderne pour l’époque était en même temps porteuse de dangers. C’est à mon sens un aspect du film qui n’est pas assez souligné, on parle plus souvent des hommes qui luttent entre eux et face au danger de la nitroglycérine, mais presque pas de la puissance monstrueuse des camions. Il y a donc une lutte directe de l’homme avec la machine pour la domination. L’homme sera vaincu puisqu’aucun des quatre conducteurs n’échappera à la mort. Le camion représente toujours la pénétration de la modernité dans des lieux qui ne sont pas reliés au progrès. Ici il est le complément nécessaire du pillage du pays par la compagnie pétrolière SOC. Il est donc porteur de malheur et de destruction. Il amène clairement la misère et la mort. Linda qui représente quelque part le bon sens populaire tente de se jeter contre le camion pour empêcher Mario de partir, mais en vain. Le camion est donc un instrument de domination aussi bien de la nature que des hommes. On verra aussi au début du film un camion qui amène les travailleurs comme on amène les bêtes à l’abattoir, avec des blessés. 

    Le salaire de la peur, Henri-Georges Clouzot, 1953

    Linda aime danser

    Ce film qui est toujours célébré pour la rigueur de sa mise en scène me pose pourtant des problèmes. D’abord, il faut le reconnaître il y a une question de rythme. Le film est très long, deux heures et demi dans la version restaurée 4K. La scène d’exposition dure près d’une heure et parfois sonne faux, notamment dans la présentation des rapports entre Linda et Mario où on sent Yves Montand particulièrement mal à l’aise. On a l’impression d’une addition de scènes de genre, et c’est sans doute cela qui a déplu à Georges Arnaud qui ne reconnaissait pas là ce qu’il avait vécu lui-même en Amérique latine. La deuxième partie, l’épopée des camions, est très répétitive et le récit ne progresse que par accident au sens propre du terme. Clouzot passe un temps infini dans des dialogues méditatifs sur les chauffeurs qui racontent leur vie. C’est sans doute le principal reproche qu’on peut lui faire, mais c’est le résultat d’un découpage qui manque un peu de rigueur. Il me semble qu’en resserrant un peu plus l’histoire on aurait gagné en intensité en donnant plus de poids aux scènes dangereuses. Le tournage a été très compliqué comme toujours avec Clouzot. Il voulait d’abord réaliser le film en Amérique latine, mais le budget ne le permettait pas. Montand se refusant à aller tourner en Espagne pour cause de franquisme, il se rabattit sur la Camargue où il fit construire entièrement le village de Las Piedras. En investissant ce lieu, cela lui permettait d’ailleurs d’embaucher des gitans comme figurants pour faire un peu plus couleur locale. Peut-être que cette sorte de dépaysement nuit pour partie à la crédibilité du film. Véra Clouzot tomba malade, Clouzot lui-même se cassa la cheville. Tous ces incidents allongèrent la durée du tournage et gonflèrent le budget. 

    Le salaire de la peur, Henri-Georges Clouzot, 1953

    Jo voudrait bien mettre en place une combine avec O’brien

    On remarque plusieurs particularités de la mise en scène de Clouzot. D’abord il s’attarde longuement sur les corps en sueur, ce qui non seulement accroit le sentiment de peur, mais aussi donne un côté érotique inattendu, surtout dans les rapports entre Mario et Jo. Ensuite il y a un soin appuyé pour donner aux camions une importance démesurée. Clouzot fait toujours apparaître les chauffeurs comme tout petits par rapport à ces objets maléfiques et dominateurs. C’est une façon bienvenue de leur donner une personnalité. Mais ce faisant, il rabaisse les êtres humains au rang de serviteurs de la machine. Il utilise donc souvent les gros plans des roues et des pneus, mais aussi les contreplongées qui accroissent ce malaise. C’est donc d’une lutte entre l’homme et la machine qu’il s’agit de montrer, et l’homme qui pourtant l’a créée n’est pas le plus fort. Cette machine est identifiée comme une force aveugle. Sa puissance pachydermique ne permet pas la subtilité des mouvements et c’est d’abord pour cela que Jo aura la jambe écrasée car Mario ne peut pas s’arrêter, il risque de rester enlisé et d’être absorbé par la machine. 

    Le salaire de la peur, Henri-Georges Clouzot, 1953 

    Ils attendent Smerloff qui ne viendra pas 

    Il y a beaucoup de scènes de sadisme dans ce film. La plus spectaculaire est cette marre remplie de pétrole dans laquelle Jo puis Mario vont plonger pour tenter de faire avancer le camion. On dit que Clouzot fit remplir la marre de vrai mazout, au lieu d’une eau colorée moins toxique, obligeant les deux acteurs à souffrir dans cette masse gluante. Mais il y en a d’autres, comme cette scène où Luigi se fait gifler par Jo sans trouver la force de réagir, préférant l’humiliation à l’affrontement. Ici Clouzot détaille les sentiments des deux hommes et montre parfaitement bien en maitrisant la durée de chaque plan comment le sentiment de honte envahit le cœur de Luigi, et en même temps la jouissance qu’en retire Jo. Cette scène est le pendant de l’humiliation qu’il a déjà subi quand Jo lui a piquer son pantalon, comme si au même moment Mario avait choisi un nouveau maître. Mais comme je l’ai dit plus si séquence après séquence il n’y a rien à reprocher à Clouzot, l’insuffisance se manifeste dans la liaison entre les séquences elles-mêmes. Ce manque 

    Le salaire de la peur, Henri-Georges Clouzot, 1953 

    Jo guide Mario 

    L’interprétation a été globalement saluée comme excellente. Charles Vanel qui tient le rôle de Jo obtint un prix d’interprétation à Cannes. Il est en effet étonnant et passe avec une grande facilité du voyou arrogant et sûr de lui au comparse soumis et pleurnichard qui se vautre dans la peur. Au départ ce rôle aurait dû être tenu par Jean Gabin qui avait déjà conduit des camions dans Gas-oil, mais aussi dans Des gens sans importance[4]. Il déclina la proposition parce qu’il ne voulait pas donner de lui une image dégradée. Yves Montand est moins à son aise dans le rôle de Mario, surtout dans la première partie du film. Il est plus juste quand il prend les choses et le volant en main. Lui non plus n’était pas le premier choix de Clouzot. Il aurait voulu serge Reggiani, pour ma part je crois qu’il n’a rien perdu au change, Reggiani aurait sans doute eu du mal à figurer le mâle dominant face à Charles Vanel. Peter Van Eyck dans le rôle de Bimba et Folco Lulli dans celui du débonnaire Luigi sont très bons, comme d’habitude si je puis dire. Véra Clouzot surjoue beaucoup dans le rôle de Linda. Mais c’était la femme du réalisateur. Comme d’habitude Dario Moreno est très bon, ici il incarne le cauteleux Hernandez. J’ai trouvé en revoyant ce film pour la cinquième ou sixième fois, que Clouzot est bien moins à l’aise dans la direction d’acteurs que dans ses films précédents. 

    Le salaire de la peur, Henri-Georges Clouzot, 1953

    La route est abimée et dangereuse, Luigi guide Bimba 

    Comme on le voit, si le film recèle des qualités il a aussi de nombreux défauts et il est bien moins achevé que les autres films de Clouzot, l’ensemble a vieilli. Néanmoins, il a obtenu de nombreux prix, la Palme d’or à Cannes, le prix d’interprétation pour Charles Vanel ou encore l’Ours d’or au Festival de Berlin. Reconnu rapidement comme un chef-d’œuvre, ce film battit des records de recettes en France, c’est le film de Clouzot qui eut le plus de succès, avec 7 millions d’entrées. C’était le moment de réconciliation de Clouzot avec son public. Il faut donc le voir, soit parce qu’on s’intéresse aux films de camions et de camionneurs, soit qu’on s’intéresse au film noir. La renommée mondiale de ce film entraîna deux remakes directs, Violent road d’Howard Koch en 1958, franchement mauvais, et Sorcerer de William Friedkin en 1977 qui est plutôt prétentieux[5]. 

    Le salaire de la peur, Henri-Georges Clouzot, 1953 

    Mario n’est plus impressionné par Jo et prend le dessus 

    On trouve aujourd’hui se film dans une copie restaurée 4K qui permet de mieux apprécier la photo du ficèle Armand Thirard. Même avec les restrictions qu’on a dites, c’est un film à voir et à revoir. 

    Le salaire de la peur, Henri-Georges Clouzot, 1953

    Jo évalue la profondeur de la mare de pétrole 

    Le salaire de la peur, Henri-Georges Clouzot, 1953

    Mario arrive au puits de pétrole en flamme



    [1] Julliard, 2017.

    [2] http://alexandreclement.eklablog.com/les-bas-fonds-de-san-francisco-thieves-highway-jules-dassin-1949-a203535506

    [3] http://alexandreclement.eklablog.com/gas-oil-gilles-grangier-1955-a160105718

    [4] http://alexandreclement.eklablog.com/des-gens-sans-importance-henri-verneuil-1956-a161956386

    [5] http://alexandreclement.eklablog.com/le-convoi-de-la-peur-sorcerer-wages-of-fear-william-friedkin-1977-a118240998

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