• Les espions, Henri-Georges Clouzot, 1957

     Les espions, Henri-Georges Clouzot, 1957

    Clouzot après le triomphe des Diaboliques aurait voulu porter à l’écran Le procès de Kafka. Mais il n’obtint pas les droits qui plus tard iront chez Orson Welles. Il se rabattit donc sur The midnight patient, un roman d’Egon Hostovsky, un autre Tchèque qui avait lui aussi le goût de l’absurde. Il déportait ainsi sa problématique du film noir vers le film d’espionnage qui n’était pas encore à la mode en ce temps-là. Bien avant The spy who came from the cold, l’ouvrage de John Le Carré qui donna naissance au film à succès de Martin Ritt en 1965, il décrivait l’absurdité de la Guerre froide, non pas en présentant sa logique géopolitique, mais en se plaçant du point de vue des êtres humains qui sont impliqués dans des actions qui les dépassent et qui sont pour eux dépourvues de sens. Mais Clouzot des Les espions ne voulait pas donner une vision dramatique de cette implication, il préférait mettre l’accent sur l’absurde des situations et la paranoïa qui gagnait les protagonistes. Qu’on le veuille ou non, c’est une approche politique puisqu’elle en revient à nier la nécessité de cette Guerre froide. Le titre fait référence au film muet de Fritz Lang qui datait de 1928. Si cette référence ne se retrouve pas dans l’histoire racontée par Clouzot, elle va par contre être présente dans la manière de jouer sur les lumières et les ombres. Le scénario est travaillé avec Jérôme Geronimi – en vérité Jean Clouzot, le frère du réalisateur – avec qui Clouzot avait fait Les diaboliques et avec qui il travaillera encore sur La vérité. Vers cette époque, et jusqu’à la fin de sa vie Clouzot s’est voulu un innovateur en constante rupture avec ce qu’il avait fait précédemment. Et c’est bien ce qu’il va faire ici. En 1950, avec Miquette et sa mère, il s’était essayé à la comédie, mais cela n’avait pas plu, sans être un fiasco, le public l’avait un peu boudé. En 1955 il avait sorti Le mystère Picasso, un film qui tentait de saisir le mystère de la création du peintre le plus célèbre du moment. Mais là ce fut encore un vrai bide. Et donc en 1957 il va s’essayer à un nouveau genre, une forme hybride qui mêle comédie grinçante, grotesque et film noir, en prétendant retrouver son public. Le financement est franco-italien et le film produit à travers la propre marque de Clouzot, Vera Films. Visant directement un public large et européen, il va construire une distribution internationale. 

    Les espions, Henri-Georges Clouzot, 1957 

    Le docteur Malic possède une clinique en banlieue, il n’a que deux clients, une jeune femme muette dont il semble amoureux et un vieux toxicomane. Il est au bord de la faillite. Un jour il rencontre un nommé Jack Howard qui lui propose de l’argent à condition qu’il accepte de recevoir un nommé Alex, qu’il ne pose surtout pas de question. Mais dès qu’il a accepté cet étrange marché, voilà que sa clinique est envahie d’abord par une fausse infirmière et ses hommes. Puis au bistrot situé en face de sa clinique, il voit de nouvelles têtes plutôt étranges, même le garçon a été changé. Il comprend rapidement qu’il va être l’objet d’une surveillance constante. Le petit Moinet vient apporter un message à Lucie, mais celle-ci ne peut pas le répéter à Malic parce qu’elle est muette. Elle trace cependant le nom d’Alex. Malic commence à devenir inquiet. Il reçoit la visite de Kaminsky et de Cooper, tous les deux se font menaçant et cherchent Alex. Un soir, un taxi amène devant sa clinique le fameux Alex. Les espions se précipitent, mais le taxi est vide ! Alex est rentré dans la clinique par une autre porte. Rapidement il s’enferme dans une chambre du premier étage, les espions le traquent. Il tire à travers la porte et blesse Léon. Celui-ci est maintenant soupçonné de trahison par la fausse infirmière et Pierre le second homme de main. Bientôt Malic va apprendre que ces espions, de l’Est comme de l’Ouest cherche à mettre la main dessus un dénommé Vogel, un savant atomiste qui ne veut pas travailler pour un camp ou pour un autre, et qu’en réalité ils soupçonnent Alex d’être Vogel. Ils vont faire pression pour convaincre le médecin de prendre une photo d’Alex. Malic tente de les tromper en photographiant le vieux toxicomane. Mais la ruse tourne court. Il va finalement soudoyer la fausse infirmière en lui donnant le million qu’Howard lui a donné. Ils vont partir tous les deux à sa recherche. Il va arriver à ses fins. Non seulement Howard s’est empoisonné pour éviter que Vogel soit pris, mais les espions sont à ses trousses. Il reste un moment seul avec Howard et celui-ci, avant de mourir, lui indique que Vogel sera dans le train de nuit pour Marseille. Il file à la Gare de Lyon avec le billet d’Howard. Dans la cabine, il va rencontrer Vogel qui lui explique qu’il préfère se suicider plutôt que de travailler pour un camp ou pour un autre. Cooper et Kaminsky sont déjà là. Pendant que Malic les empêche de rentrer dans le compartiment, Vogel se suicide en sautant par la fenêtre. Malic menace alors de tout dévoiler, mais il va se rendre compte qu’il ne peut pas être crédible. Rentré chez lui, il va découvrir que Lucie a retrouvé la parole pour l’empêcher de s’attaquer aux espions en risquant sa vie. 

    Les espions, Henri-Georges Clouzot, 1957 

    Howard donne un million au docteur Malic

    La première chose qui frappe en voyant ce film c’est le déséquilibre entre les parties. La première partie se passe quasiment en vase clos, on passe de la clinique au bistrot, cette partie s’anime mollement au fil des arrivées. Elle dure à vrai dire presque les trois quarts du film. La dernière partie quand enfin Malic réagit et part à la recherche d’Howard, c’est plus animé et un peu plus traditionnel. On comprend bien que Clouzot a voulu construire un univers étouffant pour perdre le spectateur qui s’identifie ainsi à Malic qui est complètement perdu, mais ça devient rapidement répétitif. Ce film est réputé durer 2 heures et 17 minutes. La version que j’ai fait 2 heures et 1 minute, mais la version restaurée proposée par Coin de mire, cinéma, sortie en 2020 donne une durée de 2 heures et 6 minutes. Mais je crois que ces différences de durée ne changent pas grand-chose : la première partie se traine complètement. Si on a bien compris que le milieu des espions est dérisoire et que leur travail n’a pas de sens, le fait de ne pas s’engager d’un côté ou de l’autre est une prise de position politique qui revient de fait à désigner l’Est et l’Ouest comme des systèmes politiques et économiques équivalents. Ça correspond assez bien d’ailleurs à l’esprit français de cette époque qui approuvera le retour du général de Gaulle au pouvoir et sa politique étrangère visant à se tenir presqu’à équidistance de Washington et de Moscou. Ce thème sera repris de manière parodique par Georges Lautner avec Les barbouzes en 1964. Mais ce contexte n’épuise pas toutes les raisons de l’intérêt de Clouzot pour ce thème. Le héros est le docteur Malic. Il est complètement seul face à sa conscience. Et cette conscience le fait hésiter en permanence sur la conduite qu’il doit tenir. Finalement il renoncera à l’argent si mal gagné pour tenter de sauver Howard, puis Vogel. Mais chaque fois c’est trop tard. Il est également seul face à lui-même dans ses relations avec Lucie qu’il semble tenir prisonnière et qui souhaite de le rester. Il l’enferme et la garde pour lui, pour quand elle aura retrouvé la parole. Ce thème sado-masochiste passe au second plan de l’intrigue bien sûr, mais il semble pourtant plus révélateur de la solitude de Malic que ses démêlées avec les bandes d’espions plus au moins farfelus

    Les espions, Henri-Georges Clouzot, 1957

    Malic se fait engueuler par son infirmière 

    Malic a bien du mal à s’imposer face aux espions qui envahissent son existence et son établissement. C’est un homme faible qui prend les bonnes décisions toujours à contre-temps. Il est vrai qu’il doit faire face à des gens dont il ne comprend pas les motivations. Il ne les comprend même pas physiquement comme faisant partie du même monde que lui. Ce n’est pas un hasard si se sont des caricatures qui tourmentent Malic. Ces figures grotesques évoquent le cauchemar d’une vie sans repos. Cet aspect est assez réussi, quoiqu’il soit un peu trop longuement appuyé. Dès que Malic sort de la clinique il est en danger. D’ailleurs il s’en va discuter avec Howard à l’abattoir. C’est en fait lui qu’on y mène. Ces caricatures font tout de même peur au-delà de leur physique, ils s’immiscent dans la vie de Malic d’une manière tout à fait sournoise, comme des bêtes rampantes, mettent des micros partout, se menacent même entre eux. Mais ils ont un réflexe de professionnels, ils s’entraident si besoin est. Ils ne croient en rien, seule la peur et l’appât du gain les motive. Comprenant cela Malic achètera la vie d’Howard à Connie Harper la fausse infirmière. Ces gens sont cruels, ils n’hésitent pas à tuer et à torturer. Kaminsky présente ça comme une nécessité du métier, mais il dit qu’il considère cet aspect avec horreur et dégout. Joue-t-il les âmes sensibles ? Est-il sincère ? on peut en douter. Toutefois Clouzot n’arrive pas à tenir tout à fait son pari. En effet d’une manière presque non voulue, il en revient à départager les bons – Malic, Lucie, Vogel et même Howard – des mauvais, l’ensemble des autres espions. Bien qu’Alex mette toujours en avant la peur que ce système lui inspire, il est douteux que même lui ne prenne pas un certain plaisir à vivre dans ces turpitudes. 

    Les espions, Henri-Georges Clouzot, 1957 

    Malic tente de convaincre Lucie d’aller se promener 

    On voit donc que Clouzot, malgré ses intentions, n’arrive pas à faire une œuvre de cruauté. C’est peut-être là que le film est un peu raté, dans le décalage entre les intentions et leur réalisation. A-t-il eu peur d’aller trop loin ? il est aussi possible qu’il ait trop compter sur son savoir-faire, pensant qu’il créerait une atmosphère envoutante. Et c’est peut-être là que le film se perd. Certes la mise en scène recèle beaucoup de facilité. Mais comme souvent Clouzot a des ruptures de ton dans son récit. Ici c’est flagrant il passe d’une atmosphère claustrophobique a une poursuite à la recherche du fameux Howard puis de Vogel. Les mouvements ne sont pas du tout les mêmes. On remarque que dans la première partie la menace est plus virtuelle que réelle. Elle travaille l’imagination de Malic comme celle du spectateur. Dans la seconde partie – la plus brève – il s’agit d’une course haletante. Il est curieux que le minutieux Clouzot ne l’ai pas compris. La photographie est de Christian Matras. Photographe chevronné, il n’a pas le talent toutefois d’Armand Thirard avec qui Clouzot avait l’habitude de travailler. Les noirs sont moins profonds, il souligne plus le côté misérabiliste des décors que l’angoisse et la peur de la nuit des protagonistes. 

    Les espions, Henri-Georges Clouzot, 1957

    D’étranges personnages ont investi la clinique 

    Il y a cependant un excellent sens de la profondeur de champ, une facilité pour dissimule justement ce que le spectateur cherche à voir. L’aspect délabré est opposé à la technique très moderne utilisée aussi bien par Malic qui pratique les encéphalogrammes ou les espions qui planquent des micros partout. Cette opposition est renforcé par le fait que les espions de l’Est jouent aux échecs et qu’ils se dissimulent derrière l’Amicale des ornicaristes de Bagnolet ! On retrouve une nouvelle fois cette inimitié de Clouzot envers la banlieue. Il y pleut, presque personne en dehors des espions n’y passe. Et la villa isolé qui est sensée être une clinique recèle des mystères forcément inavouables. Cette banlieue est hors du monde, hors de la modernité d’un Paris qui est en train de se transformer et qui va bientôt disparaître. Les plus séquence se trouvent dans la recherche d’Howard, on passe d’un tabac, à un bar, puis à un hôtel et tout en haut à travers les draps qui ont été mis à sécher, on va découvrir Howard en même temps que Malic. Cette utilisation de décors pauvres contribue à accroitre l’atmosphère de mystère et d’étrangeté qui pèse sur le film. Les costumes sombres, les chapeaux, donnent aux espions un côté fantastique, comme des personnages de bande dessinée. Mais au-delà de cet aspect visuel, il y a une opposition entre la modernité des recherches scientifiques de Vogel et le côté désuet de Malic et de son environnement. On peut comprendre ça comme une critique indirecte de la notion de progrès. Vogel regrette de s’être investi autant dans ce type de recherches, il préfère se suicider que de voir le monde qui résultera de son travail une fois tombé dans les mains des politiciens de tout bord. 

    Les espions, Henri-Georges Clouzot, 1957

    Le garçon du bar a trouvé un remplaçant 

    Le plus ennuyeux, c’est que le rythme, sauf dans la dernière partie, n’est pas très soutenu. Ça donne de très belles scènes sans que ces scènes soient toujours liées entre elles, comme par exemple le moment où Lucie saccage sa chambre en éventrant son coussin, la scène est longue, mais cet étirement ne fait pas avancer l’histoire. On est aussi étonné de la brièveté des  séquences qui nous montrent Malic et Connie chercher Howard, il y aurait eu là matière à mieux insérer l’intrigue dans un décor familier. Mais enfin toutes les scènes dans le train et à la gare sont excellentes et compensent un peu la mollesse de la première partie. Clouzot a toujours aimé filmer les trains, aussi bien en tant que véhicules déchirant l’espace, qu’en tant qu’espace clos qui recèle des dangers peu identifiés. 

    Les espions, Henri-Georges Clouzot, 1957 

    Dans le bar une association bizarre s’est installée 

    Il semble que Clouzot ait eu des difficultés avec les acteurs. Ils viennent en effet tous d’horizons différents et ne sont là que pour des petits rôles. Sauf évidemment Gérard Séty qui porte le film sur ses épaules en incarnant le très changeant docteur Malic. C’est je crois le rôle le plus important qu’il a tenu à l’écran. On a laissé entendre que Bernard Blier aurait voulu tenir ce rôle. On le sent un peu hésitant dans son jeu, on dirait que Clouzot n’a pas eu de prise sur lui. Mais il tient assez bien sa place pour ce qu’il a compris de son rôle. Curt Jürgens qu’on voit assez peu est Alex. Il amène un peu de dynamisme dans une cohorte d’acteurs qui en manque beaucoup. Peter Ustinov incarne le cruel Kaminsky. Il cabotine à outrance, mais c’est son habitude, on ne l’a jamais vu jouer sobrement, et peut-être est-ce pour cela que Clouzot l’a fait engager. Sam Jaffe, le doc Riedenschneider d’Asphalt Jungle, n’est pas très à son aise, sans doute avait-il un problème de langue. Paul Carpenter interprète Jack Howard sans beaucoup de conviction. O.E. Hasse fait une petite apparition dans le rôle de Vogel à la fin pour nous expliquer son cruel dilemme de savant atomiste. Son rôle est très bref. 

    Les espions, Henri-Georges Clouzot, 1957

    Malic teste les capacités cognitives de Cooper 

    Tout cela est assez peu glamour, et je me demande si cela n’a pas nui à la bonne réception du film. Certes Clouzot veut nous montrer des gens ordinaires prit dans le piège d’une Guerre froide stupide et qui n’en finit pas, mais les acteurs finissent par manquer de présence. Clouzot s’appuie aussi pour les seconds rôles sur des acteurs dont il a l’habitude, par exemple Pierre Larquey dans le rôle d’un chauffeur de taxi, Fernand Sardou dans celui d’un tueur un peu cocasse et dépassé. Et puis il y a des figures, comme par exemple Sacha Pitoeff dans le rôle de Léon le tueur qui trahit son camp, ou encore Daniel Emilfork dont la seule présence est glaçante. C’est Vera Clouzot qui tient le rôle de Lucie, beaucoup se plaignait de ses difficultés d’élocution, ici le problème est réglé, elle est muette ! Mais contrairement à beaucoup de critiques qui la détestent, je trouve qu’elle est toujours très bien. La fausse infirmière jouée par Martita Hunt s’impose physiquement, on dirait Agnes Moorehead mais en plus méchant. Le petit garçon qui porte un message à Lucie est interprété par Patrick Dewaere sous le nom de Patrick Maurin. Le personnage est crédité du nom de Moinet, comme le petit garçon toujours puni des Diaboliques. 

    Les espions, Henri-Georges Clouzot, 1957

    Alex est arrivé à entrer dans la clinique sans que les espions ne le voient 

    C’est donc un film assez moyen, intéressant à voir tout de même pour la « science » du film noir de Clouzot. A sa sortie, la critique détesta largement le film. Aujourd’hui, parce que Clouzot est considéré à juste titre comme un maître, on fait semblant d’y trouver de l’excellence en mettant en avant le caractère kafkaïen de l’intrigue. Le public ne suivit pas trop, bien que contrairement à ce qu’on ait dit ce n’ait pas été un bide noir, le film a été rentable[1]. En France il atteignit presque les deux millions d’entrées, ce qui suffit déjà à en amortir le coût, il rapporta aussi de l’argent en Italie et en Allemagne. Certes on était loin des précédents succès de Clouzot. C’est certainement un des films les plus faibles de ce réalisateur avec l’abominable Miquette et sa mère. Mais il se voit tout de même sans trop d’ennui. La musique est un peu lourde et envahissante, et l’affiche a été signée Siné, Clouzot le voulait ainsi pour renforcer le dérisoire de cette histoire. Evidemment Egon Hostovsky ne s’est pas reconnu dans cette adaptation, le contraire eut été étonnant. Mais tous les auteurs adaptés par Clouzot sont dans le même cas. 

    Les espions, Henri-Georges Clouzot, 1957

    Kaminsky explique à Malic que personne ne sait pour qui il travaille 

    Les espions, Henri-Georges Clouzot, 1957 

    Howard s’est empoisonné 

    Les espions, Henri-Georges Clouzot, 1957

    Malic prend le train pour Marseille 

    Les espions, Henri-Georges Clouzot, 1957

    Malic est rejoint dans sa cabine par Vogel 



    [1] Chloé Folens, Les métamorphoses de Clouzot, Vendémiaire, 2017.

    « Les diaboliques, Henri-Georges Clouzot, 1955Hommage à Françoise Arnoul »
    Partager via Gmail

    Tags Tags : , , , ,
  • Commentaires

    1
    lucjs
    Jeudi 22 Juillet 2021 à 14:39
    lucjs

    Et le plus triste (pour moi) c'est que de voir ce "film" (?) a complètement ruiné le merveilleux souvenir ému (et vieux de plusieurs décennies) que j'avais de Sam Jaffe dans "Le jour où la Terre s'arrêta..."

    J'ai presque envie de pleurer...

    "Avec le temps, va, tout s'en va
    Même les plus chouettes souvenirs, ça, t'as une de ces gueules..."


     

    • Nom / Pseudo :

      E-mail (facultatif) :

      Site Web (facultatif) :

      Commentaire :


    2
    lucjs
    Jeudi 22 Juillet 2021 à 14:43
    lucjs

    Toutes mes excuses à Léo Ferré, c'est un copier-coller (ça t'a une de ces gueules...)

    3
    Jeudi 22 Juillet 2021 à 16:21

    Comme quoi, Clouzot s'est un peu planté sur ce film. mais je trouve tout de même sa tentative intéressante. 

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :